BIARRITZ CITY LIGHTS
Après une installation rapide et stratégique (on isole Guy qui ne supporte pas les ronflements!) on saute sur les bécanes et direction le centre ville où, après s’être légèrement perdus, on arrive à notre première soirée « dépucelage Wheels and Waves » : Deus, the tenement of tenacity.
Isa, qui a splitté du groupe à Biarritz pour aller s’installer dans son « chez elle », est arrivée en éclaireur. Elle a déjà commandé les tapas et la bière, y’a plus qu’à se goinfrer ! Je vous donne son « 06 » à la fin de l’histoire ! Des motos à n’en plus finir. Des belles et des moins intéressantes.
Des inattendues et des carrément banales. Mais comme on dit : « j’aime pas ta bécane mais après tout, c’est ta bécane ! » Et c’est une bonne soirée. Je ne suis pas franchement pro-Deus, mais je dois dire qu’il savent recevoir. On rencontre des gens, on prend la température (bon pas à tout le monde, c’est un peu fastidieux!) Comme on ne reste jamais au même endroit très longtemps (c’est ce qui se fait, il paraît!) on décide d’aller manger un morceau aux halles.
ON VA AU BAR JEAN, GROS ?
On suit Isa, plus fiable niveau GPS, jusqu’au bar Jean, aux halles, Biarritz, centre ville pour ceux qui ne connaissent pas. C’est chaud ! Ça grouille ! Ça branche gentiment ! Ça discute ! Bref c’est bien.
On s’enfile quelques tapas et une ou deux mousses pour faire passer le « bitin ». On se marre bien, un peu sur le compte des autres…on fait nos « langues de putes », on a 15 ans, 16 grand max ! « Allez on bouge, gros ? » C’est le signal. Un saut de puce plus tard, on est dans un bar ou Mr Allard (Regarfix) fait son show en appliquant de la one-shot en mode live, sur un casque.
MILOU ET LE QUEBECQUOIS
On se prend quelques bières au comptoir extérieur. Avec ma veste à franges, je commence à me faire des potes. Milou, un ex légionnaire bourré mais sympa, avec qui on va essayer de communiquer.
Une sexa’ qui me dit en balayant les franges de ma manche : « Oh, I love it ! Very nice !» Un Canadien qui me demande de quelle tribu je viens. Il va même nous chanter une chanson Acadienne.
Un vrai délire. À l’intérieur, Franck Margerin fait des dédicaces, et devinez qui on retrouve, assise en face de lui, à se faire dédicacer un T-shirt ? Miss Isa (sans son chauffeur), sourire radieux, à fond la forme, qui se demande déjà si elle ne va pas se prendre un autre T-shirt parce que c’est trop cool !
Isa : 06/12/34/56/78